- Qu'ils sont grands, SEIGNEUR mon Dieu, les projets et les miracles que tu as faits pour nous ! Tu n'as pas d'égal. Je voudrais l'annoncer, le répéter, mais il y en a trop à dire. - Lire dans le contexte
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- Mon Dieu, Dieu sauveur, libère-moi du sang ; que ma langue crie ta justice !
- Samuel dit alors : « Le SEIGNEUR aime-t-il les holocaustes et les sacrifices autant que l'obéissance à la parole du SEIGNEUR ? Non ! L'obéissance est préférable au sacrifice, la docilité à la graisse des béliers.
- Aussi, en entrant dans le monde, le Christ dit : De sacrifice et d'offrande, tu n'as pas voulu, mais tu m'as façonné un corps.
- Que me fait la multitude de vos sacrifices, dit le SEIGNEUR ? Les holocaustes de béliers, la graisse des veaux, j'en suis rassasié. Le sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je n'en veux plus.
- Alors il ouvre l'oreille des humains et y scelle les avertissements qu'il leur adresse,
- quand vous faites monter vers moi des holocaustes ; et dans vos offrandes, rien qui me plaise ; votre sacrifice de bêtes grasses, j'en détourne les yeux ;
- Ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant, le Dieu d'Israël : Ajoutez vos holocaustes à vos sacrifices et mangez-en la viande !
- son maître le fera approcher de Dieu, il le fera approcher de la porte ou du montant et son maître lui percera l'oreille au poinçon : il le servira à jamais.
- Si vous aviez compris ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, non le sacrifice, vous n'auriez pas condamné ces hommes qui ne sont pas en faute.
- Allez donc apprendre ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, non le sacrifice. Car je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs. »
- Car c'est l'amour qui me plaît, non le sacrifice ; et la connaissance de Dieu, je la préfère aux holocaustes.
- On sacrifie le taureau, mais aussi on abat un homme ! on immole la brebis, mais aussi on assomme un chien ! on élève une offrande, mais c'est du sang... de porc ! on fait un mémorial d'encens, mais c'est pour bénir... une malfaisante idole ! Ces gens-là, c'est sûr, choisissent leurs propres chemins et se complaisent dans leurs abominations.
- Le Seigneur DIEU m'a donné une langue de disciple : pour que je sache soulager l'affaibli, il fait surgir une parole. Matin après matin, il me fait dresser l'oreille, pour que j'écoute, comme les disciples.
- Ce n'est pas pour tes sacrifices que je t'accuse ; à perpétuité, tes holocaustes sont devant moi.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV